Biovare est née en Provence, d’une conviction, les déchets alimentaires ne sont pas une fin, mais un début.
Face au gaspillage, au manque de solutions locales et à la complexité des circuits de traitement, l’idée s’est imposée d’elle-même : repenser la gestion des déchets alimentaires à l’échelle du territoire.
Pas à travers des discours, mais par des actions concrètes, visibles et mesurables.
De la collecte à la valorisation, une boucle locale et vertueuse
Les premières collectes ont débuté avec quelques restaurateurs et établissements engagés, désireux de faire mieux.
Peu à peu, Biovare a grandi autour d’un modèle clair :
- collecter les déchets alimentaires,
- les transformer localement,
- et les rendre à la terre sous forme de compost ou lombricompost riche et vivant.
Ce principe de circuit court environnemental est resté au cœur de notre démarche depuis le premier jour.
Aujourd’hui encore, chaque bac collecté participe à nourrir les sols du territoire, à recréer du lien entre ceux qui produisent et ceux qui valorisent.
Le choix du lombricompostage : un retour à la nature
Au fil du temps, Biovare a perfectionné ses méthodes, en intégrant le lombricompostage, un procédé inspiré du fonctionnement naturel des sols.
Ce sont des vers de terre qui, patiemment, transforment la matière organique en un compost d’une grande qualité agronomique.
Une manière d’allier innovation, écologie et bon sens paysan.
Une aventure humaine et territoriale
Biovare, c’est avant tout une équipe engagée qui croit à la force de l’action locale.
Chaque collecte, chaque geste de tri, chaque kilo de compost produit participe à un objectif commun :
- redonner vie à la terre et créer un modèle durable, ici, chez nous.
Notre histoire s’écrit chaque jour aux côtés de restaurants, commerces, écoles, collectivités et producteurs qui partagent la même envie : agir pour un avenir plus vert, sans perdre le sens du concret.
Biovare, c’est plus qu’un service : c’est un engagement collectif
Parce qu’à nos yeux, chaque biodéchet est une ressource,
Parce qu’il n’y a pas d’écologie durable sans ancrage local,
Parce qu’ensemble, on peut transformer nos déchets en vie.